Monsieur et Madame Gros-Patapouf font construire un mur censé les protéger contre les voleurs, les pauvres, les immigrés, « les gens pas comme eux ».
Mais le mur va montrer quelques faiblesses, en particulier grâce à l’action de Cri-Cri venu libérer sa sœur, servante chez les Gros-Patapouf autoritaires et lâches. Pour ce faire, il remplace quelques pierres par des boîtes en carton. Le mur devient une véritable passoire et les Gros-Patapouf se font voler une nourriture dont ils privaient tout le monde. Monsieur Gros-Patapouf en mourra d’écœurement et de rage et ce sera la fin d’un mur aussi absurde qu’inutile.
Malgré tout, cela demeure une comédie.